Sur Les Lectures de l’Oncle Paul – “petite encyclopédie de la littérature populaire” – Paul Maugendre analyse avec beaucoup de justesse la philosophie du Péril Groumf, quatrième tome de la série Les Lutins Urbains.
[…] ce n’est pas en se rendant aux objets trouvés qu’on peut la récupérer cette innocence, cette candeur, cette ingénuité qui manque tant aux adultes, mais en cultivant tout jeune et même avant cette forme d’esprit qui permet d’accepter tout et son contraire sans pour autant se montrer naïf.
L’on ne peut s’empêcher de songer à Lewis Carroll et à son ‘Alice au Pays des Merveilles’, une dégringolade horizontale dans un univers décalé, déjanté, désaxé, abracadabrantesque, féérique, merveilleusement incorrect (j’ai emprunté la citation car je l’aime bien, quoiqu’elle ne soit pas de moi) et onirique.