Au poil ! Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, le tome 4 de la série Les Lutins Urbains, Le péril Groumf, sur :
À la question ‘Puis-je lire ce tome 4 si je n’ai pas lu les précédents ?’ je répondrais oui car le narrateur nous donne les informations qui complètent les événements présents […].
J’ai beaucoup aimé ce quatrième tome qui tout en gardant les lignes directrices de la série nous offre de nouvelles aventures et références. À commencer par le nouveau personnage et ses relations avec le monde Onirique.
On a quelques scènes fortement inspirées du cinéma comme la scène du camion comme dans ‘Duel’ ou l’entrée en scène de zombies et morts-vivants et films d’action et quelques autres. C’est là qu’on remarque que ces histoires sont très visuelles.
En ce qui concerne les volontés d’un dictateur et de sa progéniture cela ne fait aucun doute que ni le narrateur ni Flicman n’apprécient ces façons d’agir […]. Notre cher Flicman va encore devoir se dépêtrer entre le monde réel et onirique. Il apparaît de plus en plus comme une marionnette du système. L’auteur joue avec les apparences, qui est qui, et la réalité est-elle se que l’on croit dès lors que le grand Groumf entre en action… on ne peut se fier rien…
L’humour est primordial pour mieux faire passer les notions de justice et d’injustice. J’aime toujours autant les digressions et réflexions du petit reporter de l’imaginaire dans les notes en bas de page les ‘Psiiiiit’ plus ou moins longs.
J’ai trouvé la fin plus maîtrisée même si les rebondissements et les éclats magiques sont toujours aussi rocambolesques. Cependant moins abracadatabresque…