Renaud Marhic ne change pas de style (pourquoi le ferait-il d’ailleurs !). Ce quatrième tome se vit au fil des pages, les ‘Psiiiiitt’ plaisent toujours autant, le fond philosophie est toujours présent, etc.
Je n’ai lu que quelques chapitres avec Pinkie, car il s’agit tout de même d’un roman jeunesse de 185 pages, beaucoup trop pour elle qui n’est qu’en CP, mais elle était très réceptive ! Elle a d’ailleurs lu elle-même quelques passages. Le fait qu’il y ait quelques illustrations aide beaucoup à conceptualiser les personnages, top.
L’avis de Pinkie (6 ans) : ‘J’aime bien Gustave, il est rigolo. Les ‘Psiiiiit’ sont amusants et on dirait que le monsieur qui a écrit le livre nous parle…’
L’avis de Blue (4 ans) : C’est encore trop long pour passionner ma petite Blue, mais elle écoute l’histoire tout de même, et relève la tête à chaque ‘Psiiiiit’ !
Messages étiquettés chronique
Notre cher Gustave doit de nouveau à affronter un drôle de personnage: le Groumf. Ce dernier a volé le doudou du Pacha-héritier. [Gustave] est aussi pris au milieu de quelque chose qui le dépasse : un risque de conflit mondial si le doudou n’est pas retrouvé.
L’auteur a, je trouve, rajouté encore plus de folie à cet opus […]. Un quatrième tome, où l’on retrouve […] la loufoquerie qui caractérise cette saga. On s’amuse au dépend de ce pauvre Gustave, on rit de ses péripéties, des bouffonneries de l’auteur qui s’adresse régulièrement à son lecteur. En deux mots : un régal !
Dans ‘Le péril Groumf’, j’ai retrouvé les mêmes ingrédients que dans les tomes précédents : de l’humour, des situations cocasses, des interruptions de l’auteur ‘psiiiiitesques’ (mot inventé de mon cru), de l’imaginaire qui mèneront petits et grands dans une aventure rocambolesque […].
Les termes employés et les allusions aux marques sont autant d’ingrédients qui font que cette œuvre est originale et intéressante (même addictive pour les gros lecteurs). […] L’auteur a crée un univers de toute pièce, marrant, étonnant et détonnant, peuplé de créatures imaginaires qui n’apparaissent que si on croit en leur existence. Pour petits et grands, garçons et filles, Les Lutins Urbains sont une lecture pour nos jeunes et moins jeunes qui détend et fait rire. Que va donc nous inventer ce cher Reporter de l’Imaginaire pour le tome 5 ?
Sur Les Lectures de l’Oncle Paul – “petite encyclopédie de la littérature populaire” – Paul Maugendre analyse avec beaucoup de justesse la philosophie du Péril Groumf, quatrième tome de la série Les Lutins Urbains.
[…] ce n’est pas en se rendant aux objets trouvés qu’on peut la récupérer cette innocence, cette candeur, cette ingénuité qui manque tant aux adultes, mais en cultivant tout jeune et même avant cette forme d’esprit qui permet d’accepter tout et son contraire sans pour autant se montrer naïf.
L’on ne peut s’empêcher de songer à Lewis Carroll et à son ‘Alice au Pays des Merveilles’, une dégringolade horizontale dans un univers décalé, déjanté, désaxé, abracadabrantesque, féérique, merveilleusement incorrect (j’ai emprunté la citation car je l’aime bien, quoiqu’elle ne soit pas de moi) et onirique.
[…] Comme dans les trois premiers tomes, dès le début, nous sommes happés par l’histoire et ne pouvons lâcher le livre avant de l’avoir fini. (Fpitte : Il paraît que ceci a avoir avec le Lutin Toulire qui t’oblige à lire un livre d’une traite. Je vais me pencher sur la question.) Donc, je disais que dès le début, nous sommes happés et ne pouvons… Encore un coup de Bug Le Gnome… Vais pas y arriver à faire cette chronique… Reprenons : Le bon Flicman, le Groumf qui est un être imaginaire qui transforme la réalité, Le Troll… Alors, on ferait croire que le serpent en peluche il est vivant et qu’il m’étrangle… Argh ! Argh ! De l’air, pitié…
Je reste calme, je vais faire vite. ‘Les Lutins Urbains, le péril Groumf’ à se procurer de toute urgence, à lire, dévorer, relire, dévorer encore…
Ouf ! Je m’en suis sorti. Tiens, pourquoi le mur s’ouvre sur les granits roses de Perros-Guirec ? Va-t’en la mouette !
Mais qui a peur du grand méchant Groumf ?
Pour cette quatrième aventure des Lutins Urbains, Renaud Marhic nous propose de suivre un géant gris, voleur de doudou, et plus exactement celui du prince-héritier. Le jeune policier Gustave Flicman, promu à la sécurité du Président va devoir mettre tout son talent dans cette enquête.
Le petit reporter de l’imaginaire nous raconte ses mésaventures, avec humour et malice. L’auteur conserve une belle proximité avec son lecteur en s’adressant directement à lui à l’aide des ‘Psiiiiit !’ qui jalonnent le récit.
C’est drôle et facétieux. Vachement plus fun que Oui-Oui à la plage.
*Psiiiiit ! Il faut avoir lu Le péril Groumf pour comprendre la référence à Oui-Oui.
Bim ! Encore une fois, ça m’est tombé sur la tête : plein d’action, de rebondissements, de quésako et de c’est quoi ça ? Ce livre c’est un arc-en-ciel : aux premiers abords il dispose des couleurs primaires, puis s’y ajoutent des teintes de plus en plus loufoques et indescriptibles.
Encore une fois, je suis bluffée par l’humour caractéristique […]. Unique en son genre, l’histoire nous permet de suivre ici encore une fois notre policier préféré, Gustave, entouré d’un monde qui lui apparaît plus que réel (même s’il aimerait le contraire), à la rencontre d’un […] Groumf !
Si les personnages sont adorables et attachants, le récit est toujours plein de poésie, de vocabulaire riche, qui permet aux petits (comme aux grands) de réviser notre dico ! Et ça, ça fait du bien à notre orthographe ! On dit donc merci au Petit Reporter de l’Imaginaire pour la valorisation de la langue française qu’il produit au travers de ses écrits !
[…] le plaisir est sans cesse renouvelé. On retrouve, dans ce quatrième opus, tout ce qui fait le style et le charme de l’écriture de l’auteur : les rimes, l’utilisation d’un vocabulaire varié, riche en synonymes et périphrases – ce qui est très appréciable pour la professeure de lettres que je suis –, les interpellations du narrateur avec les fameux petits ‘Psiiiiit !’, marque de fabrique inimitable et surtout, surtout, l’humour décapant, omniprésent.
Cette fois-ci, nos amis nous entraînent dans un voyage totalement hallucinant et abracadabrantesque. Si vous avez des enfants entre 10 et 12 ans qui aiment les histoires farfelues, ce livre est fait pour eux. Pas de panique s’ils n’ont pas lu les premiers tomes ! L’histoire se lit indépendamment des précédents romans.”
Une simple image vaut parfois mieux qu’une critique pointilleuse…
Merci au site Peuple Féerique pour cette libre interprétation iconographique du Péril Groumf, tome 4 des Lutins Urbains, la série qui fait se bidonner les petits sans oublier de faire marrer les grands !
Avec beaucoup de réactivité, le site Fantastinet – L’Actualité des Littératures de l’Imaginaire – vous donne un aperçu de ce qui vous attend à la lecture du tome 4 des Lutins Urbains : Le péril Groumf.
Nota Bene : le changement de couverture n’a pas échappé au chroniqueur !
Avec toujours beaucoup d’humour, ce livre jeunesse va à 100 à l’heure, dans une sorte de Road Movie […] Une petite histoire sympathique, et un changement de format… Et toujours la possibilité de passer un diplôme en Lutinologie.
C’est Action-Suspense – site de critique littéraire dédiée à la littérature policière – qui ouvre le bal avec une belle critique du quatrième tome des Lutins Urbains : Le péril Groumf.
Cette série de romans endiablés s’adressent aux jeunes lecteurs. Les trois premiers tomes (‘L’attaque du Pizz’Raptor’, ‘Le dossier Bug le Gnome’, ‘Les Lutins noirs’) ne manquaient ni de fantaisie, ni de péripéties agitées. Il en est de même avec ‘Le péril Groumf’, aussi entraînant et amusant que les précédents. L’ambiance peut rappeler les westerns ou les road-movies, avec des rencontres toutes plus surprenantes les unes que les autres. Clins d’œil au camion-fou du film ‘Duel’ de Spielberg, aux héros de Cervantès, ainsi qu’à cet ‘Hotel California’ du groupe Eagles peuplé de fantômes captifs. […] Le ‘Petit Reporter de l’Imaginaire’ raconte tout cela avec beaucoup d’humour. Des romans vivement conseillés aux enfants (et, pourquoi pas, aux plus grands).
[…] Tout est bien monté et encastré, si bien que les pages défilent sans que l’on s’en rende compte. D’ailleurs, la plume de Renaud Marhic y participe grandement puisqu’elle est très agréable à lire. Le lecteur ne rencontre donc aucune difficulté à rentrer dans l’histoire et dans l’univers proposé. Celui-ci est vraiment original et assez travaillé : on sait que cela se passe dans le futur mais attention ! pas de voitures volantes en vue. On y voit au contraire les effets de l’économie qui obligent entre autre les services publics à être sponsorisés par des marques.
[…] Il n’y pas une page sans qu’au moins un sourire apparaisse sur vos lèvres. Que ce soit avec des jeux de mots, des situations inattendues, des dialogues ou des personnages hauts en couleur, tout y passe ! En ressortant de ces lectures, vous êtes donc obligés d’être de bonne humeur. […] Je ne vous raconte pas le nombre de fois où j’ai levé les yeux, souriante, en comprenant une blague ou en me disant que, oui, j’avais bien lu telle ou telle chose… Et le pire dans tout ça ? C’est que j’ai aimé et que ça fait un bien fou !
[…] Les mots-clés à retenir : rire, originalité et magie. Franchement, pour le meilleur et pour le pire, je n’ai jamais vu ça ailleurs !
Il y a un voleur dans la Grosse Cité ! […] Gustave fait d’incroyables découvertes. Oui, c’est une histoire de fou. Le voleur serait un … Lutin Urbain ! […] Entre toutes les drôles d’expressions, les blagues et les jeux de mots, c’est un premier tome que j’ai trouvé original, farfelu et amusant. […] J’ai bien rigolé avec cette lecture et j’ai tout de suite commencé le deuxième tome.
J’ai beaucoup aimé retrouver Gustave, ce gentil policier un peu dépassé par les événements, qui s’implique malgré l’étrangeté de l’affaire. Mais j’ai surtout adoré retrouver les drôles de créatures. Ils sont malins, imprévisibles et ils ne se laissent pas faire. J’étais sûr de passer un bon moment de lecture et je suis sûr que ce sera le cas pour les aventures à suivre !
C’est une deuxième histoire pleine d’action. Je suis très content d’avoir pu découvrir cette série. Renaud Marhic est un auteur qui a le sens de l’humour et il sait vraiment s’amuser avec la magie et les créatures imaginaires.
Vous cherchez un livre fun et totalement délirant ? Avec Les Lutins Urbains, vous allez être servis […]. Une aventure dingue dans une société du futur ‘gouvernée’ par les marques… De drôles de noms, un langage franc et des personnages délirants, voilà ce que comporte ce roman ! L’histoire n’est pas très longue, mais riche en action et on en vient même à oublier la définition du mot ‘ennui’… Il s’agit d’un livre jeunesse, mais tout le monde peut y trouver son compte ! Il y a de l’originalité et de la fraicheur, tous les ingrédients réunis pour passer un drôle de moment […].
Après avoir terminé le tome 1, j’étais impatiente […]. J’ai retrouvé avec grand plaisir Gustave, un jeune policier qui semble toujours dépassé par les évènements ! Il voit toutes sortes de trucs bizarres mais il ne veut pas y croire… Il a un petit côté enfant très touchant et assez amusant. Un personnage gentil et plaisant à suivre dans ses drôles de péripéties !
[…] Les descriptions se mélangent aux dialogues ce qui donne une lecture fluide avec un bon rythme ! Le récit semble vivant avec des personnages cocasses et assez atypiques… La plume de l’auteur donne au tout une touche de fraîcheur et d’humour, ainsi qu’une porte entrebâillée qui peut mener à une certaine réflexion ! […] Surtout qu’enfant ou adulte, tout le monde peut aimer l’univers qui est vraiment génial !!
Au poil ! Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, les tomes 1 et 2 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor et Le dossier Bug le Gnome, sur :
On suit Gustave Flicman qui se retrouve embarqué dans une histoire abracadabrantesque à base de lutins, de complot, et de vol de pizza ! Oui, vous avez deviné, ce livre est complètement barré !
Entre l’histoire en elle-même qui est très sympa à lire, l’univers des lutins urbains qui est très intéressant à découvrir, l’humour à la fois simple et savant et les réguliers “Psiiiiit” de l’auteur qui introduisent ses commentaires sur l’histoire… préparez-vous pour une bonne dose de rire ! C’est un peu le livre que je conseille en cas de coup de blues ou de panne de lecture. Court mais rythmé, plein de références, de mots inventés ou réinventés, de personnages et de lutins aussi étranges les uns que les autres, ce livre a tout pour plaire !
[…] Un très bon roman court (ce qui est assez rare pour être signalé), un bon 18/20.
J’ai lu [le] second tome très peu de temps après le premier, mais entre les deux histoires il se passe en fait plusieurs mois […]. On revoit rapidement nos personnages du premier tome comme Loligoth ou le Troll, mais d’autres se rajoutent, notamment le Nain Jaune qui m’a fait sourire plus d’une fois. Gustave, quant à lui, doit s’affirmer face à sa hiérarchie et se rendre compte qu’on ne peut pas toujours contrôler ce qu’on croit ! J’ai bien aimé la fin de ce tome qui montre qu’il ne faut pas toujours se fier aux apparences… et apprend au lecteur à s’intéresser aux détails, même ceux qui semblent inutiles et limite ennuyants !
Au poil ! Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, les tomes 1 et 2 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor et Le dossier Bug le Gnome, sur :
J’avoue qu’au début, je ne savais pas trop à quoi m’attendre : sur la blogo et Booktube, les avis sont tous très positifs, mais la couverture ainsi que le résumé m’avaient l’air très enfantins. Et finalement, pas tant que ça !
L’écriture de Renaud Marhic est simple, de telle sorte qu’elle est compréhensible pour les enfants, mais pas trop, ce qui fait que cela n’est pas du tout gênant. Sa plume est bourrée d’humour et de jeux de mots qui rendent notre lecture très drôle. Une particularité : les petits ‘Psiiiiit!’. Il s’agit de sortes de NDA (notes de l’auteur) très originales, où Le Petit Reporter de l’Imaginaire (Renaud Marhic) s’adresse directement au lecteur tout en restant dans le contexte de l’histoire. Ces notes sont très drôles et apportent un vrai plus à l’histoire, je trouve.
Le tout se déroule dans une ambiance légère, bon enfant et décalée (dans le bon sens du terme!).
Au poil ! Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, les tomes 1 et 2 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor et Le dossier Bug le Gnome, sur :
Des personnages atypiques, une histoire prenante, un peu loufoque, un futur étrange… tous les ingrédients sont réunis pour une lecture des plus divertissante ! Les Lutins Urbains est une saga jeunesse complètement décalée qui ensorcelle petits et grands. La plume est d’une fluidité et d’une richesse assez inattendue, et les personnages sont très vivants.
Avec des références assez pointues à notre société actuelle (‘La Grosse Cité’, ou encore le commissariat ‘Adinike’), Renaud Marhic nous fait prendre conscience du monde vers lequel nous nous engageons : une société impersonnelle ou l’argent est roi… et ou la fantaisie n’est qu’une légende pour petits, d’où la phrase clé ‘tu comprendras quand tu seras p’tit !’ qui nous suit dans les deux tomes […].
Derrière ces petits romans pour enfants ou jeunes adolescents, on retrouve un esprit affuté qui présente des personnages fiers de leurs différences (Loligoth, ou encore le Professeur B.) et des morales implicites à retenir… Bonne lecture !
Au poil ! Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, les tomes 1 et 2 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor et Le dossier Bug le Gnome, sur :
Dans ces deux histoires, qui se passent dans un futur pas si éloigné que ça, ‘où les grandes marques ont fini par sponsoriser tout et n’importe quoi’, nous suivons les aventures de Gustave Flicman (notez le nom ! Le journaliste, lui, s’appelle Kévin Jactfort ! Trop fort !). Comme le lecteur, Gustave découvre l’existence des Lutins Urbains. Ces lutins, nains, gnomes, trolls, évoluent dans la Grosse Cité non pas parce qu’ils en ont envie, mais tout simplement parce que c’est elle qui est venue empiéter sur leur territoire (vous recevez le message ? Moi oui ! Et j’aime !) […]
Le texte est truffé d’indices, de références, d’humour, de jeux de mots, bref, on peut vraiment le lire je pense de 7 à 77 ans ! […]
Les textes, en plus de nous faire rire, nous poussent aussi à une réflexion sur la société dans laquelle nous évoluons. Ainsi les grandes marques, dans ce monde futur, ont pris le dessus et sponsorisent jusqu’au commissariat de Quartier qui s’appelle Adinike ! Et on achète ses livres à la GNAC, ‘le fameux grossiste numérique artistico-culturel’ (et il y en a beaucoup d’autres !).
Le commissaire Velu, lui, dit toujours que ‘réfléchir, c’est commencer à désobéir !’ (T.2, p.87) intéressant, non ? […]
Une lecture originale, drôle, qui mène à la réflexion (pour ceux qui veulent, hein) que je vous recommande ! Merci à Renaud Marhic, le ‘Petit Reporter de l’Imaginaire’!
Au poil ! Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
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Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, les tomes 1 et 2 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor et Le dossier Bug le Gnome, sur :
Ces choses dont vous n’arrivez pas à expliquer la provenance, la disparition suspecte d’une part de pizza (ou de la pizza entière), le dysfonctionnement d’un objet électronique, etc. Ces petits désagréments ne sont pas à imputer au destin, au hasard ou que sais-je encore… Mais bien à ces petites créatures malignes qui se cachent dans les recoins : les biens nommés Lutins Urbains.
[…] Avec l’humour qui déborde littéralement des pages, ponctuées d’apartés de l’auteur à notre destination (des ‘Psiiiiit’ nous apportant des précisions sur les événements qui sont en cours), des rebondissements et autres fourberies à foison, les Lutins Urbains ont de quoi faire tenir le lecteur !
[…] Que ce soit dans le tome 1 ou dans le tome 2, cette série à destination de la jeunesse mêle avec habileté les genres policier et fantastique, ainsi que l’humour autant dans les situations que dans les jeux de mots utilisés à tour de bras. Les Lutins Urbains c’est surtout un conte moderne qui vient se moquer gentiment de la société de consommation et de la surabondance des marques dans notre quotidien (enfin ça c’est que la lectrice adulte que je suis pourra vous en dire, pas sûre qu’un enfant aille jusque-là, mais je vous promets qu’il rigolera autant que j’ai pu le faire en tournant les pages de ces romans).
En Bref : c’est une excellente surprise que ces deux premiers titres de la série des Lutins Urbains !
Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, les tomes 1 et 2 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor et Le dossier Bug le Gnome, sur :
Un voleur s’empare des pizzas du livreur mais aucunement de son argent […]. La Grosse Cité est menacée par un virus qui ensorcèle les téléphones portables et qui rend les ordinateurs complètement fous […].
Connaissez-vous l’univers des ‘Lutins Urbains’ de Renaud Marhic ? Ces petits personnages, sous la protection du Professeur B., docteur en Lutinologie, aident le jeune policier, Gustave Flicman, dans ses enquêtes […].
Le lecteur fonce tête baissée dans l’aventure, il fait confiance à Gustave et aux Lutins Urbains qui l’aident dans cette enquête périlleuse […]. L’écriture de Renaud Marhic est dynamique, avec le langage de nos jeunes et toujours cet intérêt pour lui (‘Psiiiiit ! Cher lecteur…’) de tenir le lecteur jusqu’au bout de l’aventure.
Bravo ! Un véritable coup de cœur. Des livres à déposer au pied du sapin pour captiver nos enfants à partir de 7 ans.