Scène ordinaire dans la vie du Petit Reporter de l’Imaginaire : un salon littéraire… deux lecteurs viennent de quitter le stand des “Lutins Urbains” et autre “polars féeriques”… L’un s’en repart un livre sous le bras, l’autre pas. Mais qu’ils aient ou non bourse déliée, l’un et l’autre s’en vont un peu plus riches qu’ils étaient arrivés…
C’est affaire de “dédicace contée” ! Car plutôt que faire l’article, le Petit Reporter, lui, conte à tout va ! Pas un visiteur à repartir sans une histoire de Korrigans, de Corriks, de Korils, de Poulpikans et Poulpiquets, à moins que ce ne soit de Kornigans ou de Cornicanets… Et puis, au hasard des récits qui s’enlacent et s’entrelacent au canevas de son imaginaire, le Petit Reporter vous dira peut-être aussi quelques mots sur l’Ankou, la Dame Blanche, sans oublier Bag Noz et Ville d’Ys…
Bien sûr, fidèle à l’esprit des Lutins qui ont le lucre en horreur, la “dédicace contée” est sans obligation d’achat, parole de Petit Reporter !
Demandez-lui comment la salive ne vient pas à lui manquer à l’occasion de ces “veillées” improvisées, et, là encore, c’est à un registre typique du Petit Peuple qu’il empruntera : “Dans ces cas-là, je pense à une vieille recette de saucisse préparée dans de l’ail et du chou. La salive me revient aussitôt…”