Quand le Petit Reporter de l’Imaginaire n’est pas occupé à écrire ou à lire, il lui arrive donc d’écouter de la musique…
Et dans bien des refrains, il trouve trace des lutins !
Qui mieux que les Pink Floyds – dans leur tout premier album ; quelques mois après le Laughing Gnome de David Bowie – pouvaient nous dépeindre un gnome touché par la grâce au milieu des siens ?
Je veux te raconter une histoire à propos d’un petit homme, si tu permets
Un gnome nommé Grimble Gromble
Et les petits gnomes sont chez eux, mangeant, dormant et buvant leur vin
Il portait une tunique écarlate, un capuchon bleu-vert, ça le faisait bien
Il lui arriva une grande aventure
Au milieu de l’herbe et de l’air pur, en somme
Festoyant, glandouillant.
Et puis un beau jour : Houra !
Une autre façon pour les gnomes de dire
Houuuuuuuura !
Regarde le ciel, regarde la rivière
N’est-ce pas bon ? […]
Partant en vrille, trouvant de nouvelles voies
Et puis un beau jour : Houra !
Une autre façon pour les gnomes de dire
Houuuuuuuura ! […] *
* The Gnome, in The Piper at the Gates of Dawn, Pink Floyd, 1967
Tous les billets Des écrivains et des lutins, Des musiciens et des lutins, Des dessinateurs et des lutins, et Les Lutins font le mur sont extraits de : Le Lutin dans tous ses états – représentation polymorphe du Petit Peuple dans la culture contemporaine, © Renaud Marhic, 2013 – working in progress.