Vue exceptionnelle de la Grosse Cité, présent et passé entremêlés, captée à travers la vitrine murée de l’Université d’Onirie, selon le procédé de “vision imaginaire”. © Renaud Marhic / Le Petit Reporter de l’Imaginaire.
CATÉGORIE : Lieu.
APPARITION : Les Lutins Urbains tome 1 – L’attaque du Pizz’ Raptor.
STATUT ACTUEL : Mégalopole.
ANCIEN STATUT : Capitale.
SIGNES PARTICULIERS : Habitée par les Grocitiens et les Grocitiennes. Divisée en “secteurs”. Services publics sponsorisés par les grandes marques commerciales. (Exemple : Commissariat de Quartier Adinike® – “Avec-Adinike®-le-sport-c’est-toujours-le-pied”.) Hypercentre protégé. Banlieues à l’abandon.
HISTOIRE : La Grosse Cité, c’est Paris dans quelques années. Une ville qui a grandi démesurément, absorbant toute les agglomérations qui l’entouraient. À force de chasser les habitants du centre-ville vers la banlieue, la banlieue a grossi, grossi, grossi… pour finir par grignoter le centre-ville.
ANECDOTE : C’est dans un hôtel désaffecté du Secteur 15 bis de la Grosse Cité que le Professeur B. a installé l’Université d’Onirie.
Utilisation :
Les textes de Lutinopédia sont disponibles sous licence “Les Lutins Urbains infestent ton blog pile-poil à l’identique”.
Les citations sont autorisées en contrepartie de la mention : www.les-lutins-urbains.editionsptitlouis.fr
Exemple de bonne utilisation :
pixitop a utilisé les textes de Lutinopédia en citant www.les-lutins-urbains.editionsptitlouis.fr. La semaine suivante, il a gagné un épluche-légumes à une loterie à laquelle il n’avait pas participé ; son pire ennemi s’est présenté à la police pour s’accuser du meurtre de Vercingétorix ; sa concierge lui a offert des fleurs pour le remercier de sa bonne haleine.
Exemple de mauvaise utilisation :
bigdadais_999 a utilisé les textes de Lutinopédia en oubliant de citer www.les-lutins-urbains.editionsptitlouis.fr. Le lendemain, son habitation a été rasée par un troupeau de gnous ; il est devenu ami avec Nabila sur Facebook ; “Vraiment ridicule ce masque de poisson” a été la dernière phrase que lui ont adressée ses amis avant de l’oublier pour toujours.